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traces éparses

traces éparses
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2 avril 2005

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2 avril 2005

écoutant saez

bonjour la france enfant d'une génération ratée.. même si on est des miliards!!... à chercher l'amour.. et toi tu crois qu'on peut toujours la sauver, cette étoile? on ne veut plus de vos solutions, même si je ne suis qu'une enfant, enfant d'une génération ratée, vautré devant la télé et qui se branlait devant les bombardements.. trop.. trop.. trop de choses joder de joder on a renvoyé d'une terre sans pays, où est la libération?
2 avril 2005

Depussé Marie

Est ce qu on meurt de ça 1.Il faut sortir en emportant la porte. 2.Elle était dans la danse de la lumière où l’on se déplace, léger et sourd, quand on est amoureux, ou plutôt quand on sait que le morceau de temps dont on vit les instants fragiles, décomposés, a pour légende amour. 3.Elle regarde le vide, ne sachant à quel point c’était un vide en lui. 4.Parfois, elle tente de réfléchir, au lieu de simplement souffir. Il lui faudrait comprendre que l’ombre avait toujours perçu, puis instauré, entre eux, un rapport de force qu’elle avait eu la faiblesse de prendre pour la bataille d’amour. 5.-Je t’aime encore, je t’aime encore. Ne m’abandonne pas, à d’autres hommes, à l’effort douloureux d’avoir à mesurer la forme et la violence d’épaules inconnues. Ne m’abandonne pas, c’est une prière. 6.Pour que la merveille incessante, de ces montagnes, de cette mer qui les convoquent à leur tribunal, pour y répondre, nuit et jour, de deux questions simples, le désir et la mort, pour que cette merveille incessante, cesse, un instant. 7.Toutes ces histoires sur l amour lui semblent ici bien des histoires. Etrange obstination de ce que Baudelaire appelle le « besoin d’amour ». Ne pas confondre, disait-il, aimer et le besoin d’aimer. 8.Elle avait aimé prononcer le mot innocence. Mais aucun mot ne se pose, sans doute, sur la nudité des corps. 9.Elle avait toujours senti cette distance d’avec les choses du corps, qu’elle aimait, au début, comme une étrangeté. Elle se prend aujourd’hui les pieds dans le vide. Il lui semble que le sentiment amoureux, la fidélité, la jalousie, sont une mise en forme de la vie. Le nier, et vous guettent alors une neutralité, une platitude, étranges. livre « Deuil et mélancolie » 10.Mais, fidèle, à quoi, à qui, elle s’égare. 11.Est-elle effleurée, alors par la question que la nudité, en paroles, n’existe pas. 12.Mais de petite étrangeté en petite étrangeté, le monde se vide. Elle a la tête pleine d’absence. N’importe quoi, n’importe qui, de gentil, la retiendrait de glisser, arrêterait le chaos. Cela se passe quand un ami lui écrit sur un papier le titre de trois livres à lire. Ou encore le soir
2 avril 2005

une prière-damien saez

Puisqu’il n’y a plus de dieux, plus de bien ni de mal, puisqu’il n’y a plus d’idéologies, plus de rêves auxquels croire, puisqu’il n’y a plus que les ruines d’une richesse lointaine, puisque cette étoile est laide et puisque je suis seul ; si les êtres ne peuvent m’aider. Je prie
2 avril 2005

PENTTI HOLAPPA.

La prochaine fois que je viendrai au monde ici je transcrirai chaque minute dès le début. Je n’en consommerai pas une seule sans réfléchir d’abord, et le cas échéant, j’arrêterai le temps afin qu’il attende ma décision. Je choisirai les jours de calme, le travail, les nuits ardentes, les proches les plus sages, mes amours les plus belles et les plus fidèles. Avant la scène de l’amour, pendant et après, ni mon partenaire ni moi-même, ne devrons nous sentir étrangers. Jamais, si la vie dépérit et avec elles toutes les choses, je ne me dirai que demain il sera trop tard. Pentti Holappa.
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2 avril 2005

arabe

oumi=ma maman. beba=mon papa. himoukima=ta maman. babek=ton papa. oum=maman. baba=papa.
1 avril 2005

commençons par le commencement

donc...l'envie de faire un blog, pourquoi? et quel hasard, réaliser après que je le commence le 1er avril, comme un signe de bon augure, si cela est possible.entre cynisme et réalité, envie de rire ou envie de pleurer, peut-être juste partager et continuer sur cette lancée. trouver un peu d'espoir et danser dans les prés. comme aujourd'hui tout est permis(d'ailleurs, quelqu'un sait-il si c'est international, cette idée du 1er avril et d'où cette tradition vient-elle? parce que moi pas), rêver que le monde ira mieux, que nos mondes s'entrecroisent pour s'épauler, que la lumière que je vois briller au loin n'est pas une utopie, que nous ne sommes pas des rats et que ce monde est plus beau parce qu'on y existe. d'où l'illusion, qu'elle soit un moteur et pas un poids. 1er avril, croire que tout est permis, asperger le voisin avec mon jet d'eau, embrasser un inconnu dans la rue, dire à la petite vieille d'à côté qu'elle aussi elle chante faux, parler en hébreux à la caissière et lui dire qu'elle pourrait faire un effort, mettre une laisse autour du cou d'un ami et aller le promener, peindre une jolie phrase sur le sac d'un passant qui attend au feu rouge pour traverser, se promener tout nu dans la rue parce que c'est quand même comme ça qu'on est le plus à l'aise, fermer les yeux et juger les gens sur ce qu'on sent et pas ce qu'on voit, aller foutre une fessée à bush, à kerry, à aznar, à mussolini, à blocher ou même à zapatero, filmer les défauts des gens et les projeter sans leur demander leur avis, nager dans la mer du nord avec une bouée autour des fesses sans avoir froid, rire aux éclats au nez de mon chef parce que oui, je suis humaine autant que lui, pêter un coup et ne pas m'en offusquer, écrire un livre, dire à l'autre qu'il me plaît ou - plus difficile - que non - en fait ça dépend des cas-. imaginer qu'un jour, j'aurais fait tout ça, c'est rigolo quand même. oser, oser, oser, et sortir les mains de ses poches.. CARPE DIEM
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